©Annouchka Gravel Galouchko Le jardin de monsieur Préfontaine (Les élémentaux), acrylique sur papier Arches, 56 cm x 76 cm 1982-1990. Image tirée du livre Le jardin de monsieur Préfontaine, Éditions Les 4oo coups, Montréal, 1997
Voici l'histoire d'un jardin extravagant, gorgé de fruits, de fleurs, de parfums, de couleurs et de musique... La musique d'une petite fontaine qui refusa de se taire, même aux plus mauvais jours. Même lorsque Firmin, le propriétaire, affligé par le malheur qui frappait son jardin, laissa tout à l'abandon, la fontaine chanta encore. Elle chanta jusqu'à ce que renaissent l'espoir et le jardin. Alors, elle prit un peu de repos.
Je suis également auteure. Au tout début des années 1980, isolée dans un village en Gaspésie, j’ai peint les premières images et amorcé l’écriture d’un de mes futurs albums, Le jardin de Monsieur Préfontaine. Le livre parle de la blessure laissée par la perte du paradis. Après avoir perdu la fortune reçue en héritage qui lui permettait d’entretenir un domaine de beauté, Monsieur Préfontaine est obligé de trouver en lui-même les ressources pour le faire renaître. Il doit retrouver au cœur même de l’être, le jardin intérieur immortel et indestructible.
Je suis également auteure. Au tout début des années 1980, isolée dans un village en Gaspésie, j’ai peint les premières images et amorcé l’écriture d’un de mes futurs albums, Le jardin de Monsieur Préfontaine. Le livre parle de la blessure laissée par la perte du paradis. Après avoir perdu la fortune reçue en héritage qui lui permettait d’entretenir un domaine de beauté, Monsieur Préfontaine est obligé de trouver en lui-même les ressources pour le faire renaître. Il doit retrouver au cœur même de l’être, le jardin intérieur immortel et indestructible.