Dans ces œuvres picturales, j’ai eu tendance à utiliser des détails d’œuvres anciennes comme éléments de composition.
Mes tableaux en général ne parlent pas d’un temps linéaire; ils sont plutôt une représentation de la simultanéité de l’Être qui transcende le temps. Notre conscience est toujours ici et maintenant. Nous ne disposons plus que du souvenir qui est une réduction de l’expérience vécue dans une forme malléable par notre intellect.
Dans mes tableaux plus récents, les représentations de l’Être se multiplient exprimant ainsi que nous sommes toujours présents. Passé, présent et futur se confondent, annulant ainsi le temps.
En écoutant récemment une conférence de Daniel Odier : j’ai, une fois de plus, constaté combien j’étais profondément connecté aux traditions spirituelles orientales non duelles.
Daniel Odier, qui est un Maître au parcours particulièrement vaste, a été nommé Maître chan en 2004 par l’un des plus grands Maître chan chinois, Jin Hui Sifu. Daniel Odier est aussi Maître du shivaïsme tantrique cachemirien et a été initié au Mahamudra cachemirien ainsi qu’au Dzogchen tibétain.
Daniel Odier nous parle de l'Assam et du Cachemire comme ayant été des importants carrefours faisant partie du réseau de la route de la soie par lequel transitaient de nombreuses richesses matérielles, spirituelles et culturelles. Les traditions spirituelles différentes, chinoises, tibétaines, indiennes, soufis s’harmonisaient, s’influençaient mutuellement et se magnifiaient. Il n’y avait pas de ségrégation ni de préjugés face aux femmes. Celles-ci pouvaient s’épanouir en ces lieux bénis des dieux, devenir des Maîtres et enseigner. Les tantriques considéraient hautement les soufis et c’était réciproque. Ils dansaient la danse cosmique ensemble, celle qui unit le corps avec le cosmos. Ils vibraient ensemble aux musiques remplies d’ivresse divine. Pour moi, cette culture universelle ample, qui fait des ponts entre les traditions et les cultures spirituelles, ressemble à ce que l’on pourrait imaginer comme l’esprit du paradis terrestre!
Mes tableaux en général ne parlent pas d’un temps linéaire; ils sont plutôt une représentation de la simultanéité de l’Être qui transcende le temps. Notre conscience est toujours ici et maintenant. Nous ne disposons plus que du souvenir qui est une réduction de l’expérience vécue dans une forme malléable par notre intellect.
Dans mes tableaux plus récents, les représentations de l’Être se multiplient exprimant ainsi que nous sommes toujours présents. Passé, présent et futur se confondent, annulant ainsi le temps.
En écoutant récemment une conférence de Daniel Odier : j’ai, une fois de plus, constaté combien j’étais profondément connecté aux traditions spirituelles orientales non duelles.
Daniel Odier, qui est un Maître au parcours particulièrement vaste, a été nommé Maître chan en 2004 par l’un des plus grands Maître chan chinois, Jin Hui Sifu. Daniel Odier est aussi Maître du shivaïsme tantrique cachemirien et a été initié au Mahamudra cachemirien ainsi qu’au Dzogchen tibétain.
Daniel Odier nous parle de l'Assam et du Cachemire comme ayant été des importants carrefours faisant partie du réseau de la route de la soie par lequel transitaient de nombreuses richesses matérielles, spirituelles et culturelles. Les traditions spirituelles différentes, chinoises, tibétaines, indiennes, soufis s’harmonisaient, s’influençaient mutuellement et se magnifiaient. Il n’y avait pas de ségrégation ni de préjugés face aux femmes. Celles-ci pouvaient s’épanouir en ces lieux bénis des dieux, devenir des Maîtres et enseigner. Les tantriques considéraient hautement les soufis et c’était réciproque. Ils dansaient la danse cosmique ensemble, celle qui unit le corps avec le cosmos. Ils vibraient ensemble aux musiques remplies d’ivresse divine. Pour moi, cette culture universelle ample, qui fait des ponts entre les traditions et les cultures spirituelles, ressemble à ce que l’on pourrait imaginer comme l’esprit du paradis terrestre!