Photo aérienne (drone ) par ©Patrick Richard
Avec la distance, il ne reste que celui qui voit.
Dans la Kena Upanishad datant de 3000 ans, il est dit : Ce n'est pas ce que l'œil voit mais ce par quoi l'œil voit. Tel est le Brahman et non cela qu'on honore comme tel.
Avec la distance, il ne reste que celui qui voit.
Dans la Kena Upanishad datant de 3000 ans, il est dit : Ce n'est pas ce que l'œil voit mais ce par quoi l'œil voit. Tel est le Brahman et non cela qu'on honore comme tel.
C’est dans le cadre du projet Émergence et avec la complicité du public que cinq artistes se sont approprié aujourd’hui parcs et souterrain de Vaudreuil-Dorion. Tina M. Struthers était au parc de Bel-Air, Monica Brinkman au parc Esther-Blondin, Deirdre Potash au parc des Siffleurs, Annouchka Gravel-Galouchko au parc Félix-Leclerc et Lucie Bisson au tunnel reliant les rues des Asters et des Muguets. Ça met de la couleur dans la ville tout ça!
Voilà le concept auquel j’ai pensé pour le thème du mois de mai : Saines habitudes au quotidien, se ressourcer .
L’anneau de Dokan, qui est une calligraphie bien connue provenant du zen japonais, en plus de symboliser le cercle d’infini représente aussi la pleine conscience des activités quotidiennes comme pratique quotidienne.
J’ai voulu représenter dans ce dessin la liberté spacieuse du ciel bleu avec ses oiseaux, le cercle d’infini représentant le cycle de la vie qui se renouvelle sans cesse et sans interruption.
Je peindrai quelques oiseaux (pas ceux là qui sont à titre d’exemples) qui inspireront les gens à dessiner leur propre oiseau dans le bleu de l’anneau. J’ai ajouté à l’intérieur du cercle, une ligne : Mon œil porte une vague d'oiseaux, tirée de mon poème, Sur le bord de l’ile, présenté dans le cadre de Ode au printemps.
Si vous regardez bien le dessin ci-dessous, l’anneau de Dokan ressemble à un gigantesque œil avec sa pupille noire et son iris bleue. La conscience d'où tout émerge : les visions du cœur symbolisés ici par les oiseaux. Cette œuvre est totalement éphémère, située en plein stationnement du Parc Félix-Leclerc! Je me console en me disant qu'elle est un peu comme ces dessins de mandalas de sables tibétains qui symbolisent l'éphémérité des choses, l'impermanence de la création qui se renouvelle éternellement.
L’anneau de Dokan, qui est une calligraphie bien connue provenant du zen japonais, en plus de symboliser le cercle d’infini représente aussi la pleine conscience des activités quotidiennes comme pratique quotidienne.
J’ai voulu représenter dans ce dessin la liberté spacieuse du ciel bleu avec ses oiseaux, le cercle d’infini représentant le cycle de la vie qui se renouvelle sans cesse et sans interruption.
Je peindrai quelques oiseaux (pas ceux là qui sont à titre d’exemples) qui inspireront les gens à dessiner leur propre oiseau dans le bleu de l’anneau. J’ai ajouté à l’intérieur du cercle, une ligne : Mon œil porte une vague d'oiseaux, tirée de mon poème, Sur le bord de l’ile, présenté dans le cadre de Ode au printemps.
Si vous regardez bien le dessin ci-dessous, l’anneau de Dokan ressemble à un gigantesque œil avec sa pupille noire et son iris bleue. La conscience d'où tout émerge : les visions du cœur symbolisés ici par les oiseaux. Cette œuvre est totalement éphémère, située en plein stationnement du Parc Félix-Leclerc! Je me console en me disant qu'elle est un peu comme ces dessins de mandalas de sables tibétains qui symbolisent l'éphémérité des choses, l'impermanence de la création qui se renouvelle éternellement.